Depuis la naissance des filles, il nous a toujours paru évident que nous les élèverions dans la bienveillance, sans violence physique ou psychologique, en les respectant. Pour ce qui est de la violence physique, nous n’avons jamais eu de problème à l’éviter. La violence psychologique non plus. Je pense que nous respectons nos puces ainsi que leurs besoins. Après, il y a la bienveillance. C’est relativement simple pendant les vacances… Les vraies, vous savez quand on a la chance de partir loin de chez nous, loin du quotidien… Après, au quotidien, à la maison, c’est parfois un tout petit peu plus compliqué. Et si on ajoute à ça la fatigue et le stress du boulot, cette bienveillance est plus difficile à atteindre.
Je n’ai jamais cessé d’essayer de rester sur ce chemin, et c’est ce que j’ai l’intention de continuer à faire malgré la rentrée scolaire. Mon métier est une passion, mais je ne veux plus qu’il interfère à ce point sur ma façon d’être avec Crevette et Cacahuète.
Donc voilà ! Mon but est de réussir à laisser mes problèmes, mon stress, ma fatigue à la porte de l’école. Je veux redémarrer une nouvelle journée à partir du moment où je récupère les filles. Je veux réussir à dissocier mon réservoir de patience de l’école et celui de la maison… Enfin vous voyez le principe quoi !
Ça ne va pas être facile, mais j’y crois ! ^^
Elles le méritent non?
Alors si des instits passent par là (et pas que des instits d’ailleurs) et veulent apporter un témoignage à ce sujet, ce sera avec plaisir… Si vous avez des astuces je suis preneuse également
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